Assos ayant déjà adopté ce plan
d’action
Considérant que les conditions de stages non-rémunérés
ont comme
principale caractéristique commune de ne pas reconnaître
la valeur du
travail gratuit;
Considérant l’augmentation depuis la crise de 2008 du
nombre de stages non-payés après diplomation dans
différents domaines;
Considérant que la lutte pour la rémunération de tous
les stages prend de l’ampleur sur différents campus;
Considérant que quelques journées de grève de plus de 20
000 étudiant.es
ont réussi à faire obtenir aux étudiant.es en éducation
une
compensation financière pour leur quatrième stage;
Considérant que l’annonce de cette compensation est
largement
insuffisante pour pallier aux compressions budgétaires
totalisant plus
de 4 milliards depuis l’élection du gouvernement
libéral;
Que l’AFESH informe et mobilise ses membres en faveur de la
lutte pour la rémunération de tous les stages à tous les
niveaux;
Que l’AFESH participe à la Coalition montréalaise pour la
rémunération
de tous les stages et qu’elle invite les groupes,
associations et
organismes alliés à y participer;
Que l’AFESH lance, dès la rentrée de la session d’automne,
un ultimatum
au gouvernement de mettre en place un programme de
rémunération de
l’ensemble des stages dans l’ensemble des programmes et à
tous les
niveaux d’études;
Que l’AFESH organise une assemblée générale de grève à
l’automne 2018,
pour voter une semaine de grève la semaine du 19
novembre;
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux, que l’AFESH organise une
assemblée
générale de grève générale illimitée à l’hiver 2019 dès que
le plancher
suivant est atteint : 20 000 étudiant.es avec avec un mandat
de GGI
réparti.es dans 3 régions administratives;
Que l’AFESH débloque 20 000$ pour la campagne pour la
rémunération de
tous les stages; Que l’AFESH invite les autres associations
impliquées
dans la campagne pour la rémunération des stages et les
associations
nationales à cotiser aux fonds de grève et adopter des
mandats en faveur
d’une campagne menant vers la GGI;
Que l’AFESH veille à ce que l’UQAM prenne position en faveur
de la rémunération de tous les stages et la maintienne;
Que l’AFESH cherche des appuis des syndicats et organismes
communautaires à la campagne pour la rémunération de tous
les stages
afin d’augmenter les moyens de pression et d’encourager les
travailleuses sociales à refuser les stagiaires en grève
dans leurs
milieux en guise de solidarité;
Que ce plan d’action soit amené au prochain congrès de
l’ASSÉ.
5 avril 2018, Adoption à majorité
– Continuer à garder contact avec les associations en faveur
de la
rémunération de tous les stages afin de faire un suivi de la
lutte et
s’organiser en cas de besoin. Les informer de notre plan
d’action de
2018-2019 pour la lutte pour la rémunération des stages.
– Lancer, dès la rentrée de la session d’automne, un
ultimatum au
gouvernement de mettre en place un programme de rémunération
de
l’ensemble des stages dans l’ensemble des programmes et à
tous les
niveaux d’études le [DATE janvier];
– Promouvoir l’adhésion de regroupements, associations,
organismes et
syndicats à participer à la coalition montréalaise pour la
rémunération
des stages.
– Poursuivre la participation à la Coalition montréalaise
pour la
rémunération des stages et qu’elle fasse valoir son plan
d’action
impliquant:
1. le lancement d’un ultimatum dès la rentrée de la session
d’automne,
enjoignant le futur gouvernement de mettre en place un
programme de
rémunération de l’ensemble des stages dans l’ensemble des
programmes et à
tous les niveaux d’études le [DATE mi janvier];
2. l’adoption d’un mandat de grève générale illimitée des
cours et des
stages déclenchée dès que le plancher suivant est
atteint;
3. 20 000 étudiant.es avec un mandat de GGI;
4. réparti.es dans trois régions administratives;
– Faire valoir un plan d’action impliquant un ultimatum et
un mandat de
GGI pour l’hiver 2019 dans les autres coalitions régionales
et les
associations étudiantes collégiales et universitaires du
Québec ou hors
Québec;
– Former un comité élargissement, dès l’automne, auquel sera
invité à
participer des étudiant.es de tous les programmes afin de
participer à
une tournée de mobilisation dans toutes les régions du
Québec;
– Débloquer un fonds de 20 000 afin de soutenir les
activités de
mobilisation en prévision de la continuation des actions de
mobilisation
pour la lutte de la rémunération des stages;
– Inviter les associations membres de l’ASSÉ et de l’AVEQ
impliquées
dans la campagne pour la rémunération des stages à cotiser
aux fonds de
grève et proposer dès l’automne, dans leur congrès
respectif, des dons
pour les fonds de grève de 20 000$ afin de soutenir la
GGI;
– Considérant que l’AVEQ travaille sur une recherche sur la
rémunération
des stages, participer au comité de recherche de l’AVEQ pour
suivre le
travail de la recherche sur la rémunération des stages et
engager un.e
recherchiste qui entrera en poste dès l’automne pour
travailler sur
cette recherche et la faire avancer le plus rapidement
possible.
– Aller chercher l’appui des syndicats des enseignant.e.s à
la campagne
pour la rémunération de tous les stages afin d’augmenter les
moyens de
pression et que les enseignant.e.s refusent les stagiaires
en grève dans
leurs milieux en guise de solidarité. 1.1.11 Veiller à ce
que l’UQAM
prenne position pour la rémunération de tous les stages et
la
maintienne.
5 avril 2018, Adoption à l’unanimité
Que le REETS reste solidaire avec les autres étudiant.es
militant pour la rémunération de tous les stages;
Que le REETS informe et mobilise ses membres en faveur de la
lutte pour la rémunération de tous les stages;
Que le REETS participe à la Coalition outaouaise pour la
rémunération de
tous les stages et qu’elle invite les groupes, associations
et
organismes alliés à y participer;
Que le REETS participe à l’ultimatum qui sera lancé cet
automne par les
coalitions régionales au gouvernement de mettre en place un
programme de
rémunération de tous les stages à l’hiver 2019;
Que le REETS organise une AGS de grève durant la première
semaine du
mois de novembre, c’est-à-dire pour démontrer au
gouvernement le sérieux
de notre démarche et afin de poursuivre l’escalade des
moyens de
pression.
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux tel que revendiqué, que
le REETS
entreprenne une escalade des moyens de pression pouvant
aller jusqu’à la
grève générale illimité, conjointement avec les associations
étudiantes
d’autres universités et cégeps de plusieurs régions du
Québec;
Que le REETS organise une AGS au début de la session d’hiver
afin de faire un suivi à l’ultimatum;
Que le REETS cherche des appuis des syndicats et organismes
communautaires à la campagne pour la rémunération de tous
les stages
afin de collaborer.
20 septembre 2018, adoption à l’unanimité
Considérant que la lutte pour la rémunération de tous
les stages
prend de l’ampleur sur différents campus et dans
différentes régions du
Québec;
Considérant que l’Association des étudiantes et
étudiants en éducation
de l’UQAM (5000 étudiant.e.s) ainsi que l’Association
facultaire des
sciences humaines de l’UQAM (5000 étudiant.e.s) ont déjà
adoptée un plan
d’action conduisant à une grève générale illimitée à la
session d’hiver
2019 dans l’éventualité où le gouvernement ne
s’engageait pas à mettre
en place un programme de rémunération de l’ensemble des
stages dans
l’ensemble des programmes et à tous les niveaux
d’études;
Considérant qu’un tel plan d’action sera discuté lors
des assemblées
générales dans plusieurs cégeps (St-Laurent, Outaouais,
Marie-Victorin,
Sherbrooke);
Considérant que l’AGECVM a comme mandat d’informer et de
mobiliser ses
membres en faveur de la lutte pour la rémunération des
stages à tous les
niveaux;
Considérant que l’AGECVM est membre de la coalition
montréalaise pour la
rémunération des stages et a comme mandat d’inviter les
associations et
organismes alliés à y participer;
Que l’AGECVM lance un ultimatum au gouvernement pour mettre
en place un
programme de rémunération de l’ensemble des stages dans
l’ensemble des
programmes et à tous les niveaux d’études;
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux, que l’AGECVM adopte un
mandat de
grève générale illimitée à l’hiver 2019 dès que le plancher
suivant est
atteint : 20 000 étudiant.es avec un mandat de GGI,
Réparti.es dans 3
régions administratives;
Que dans une perspective d’escalade des moyens de pression,
l’AGECVM
organise une assemblée générale de grève le 6 novembre, pour
voter une
journée de grève le 21 novembre;
Que l’AGECVM invite les autres associations impliquées dans
la campagne à
se doter d’un mandat de grève pour la rémunération des
stages et invite
les autres associations à cotiser aux fonds de grève et
adopter des
mandats en faveur d’une campagne menant vers la GGI;
Que l’AGECVM veille à ce que le CA du CVM prenne position en
faveur de la rémunération de tous les stages et la
maintienne.
5 septembre 2018, Adoptée à l’unanimité
Considérant que les stages non rémunérés sont du travail
effectué gratuitement par les étudiant·e·s;
Considérant l’augmentation depuis la crise de 2008 du
nombre de stages non payés après diplomation dans
différents domaines;
Considérant la corrélation entre coupe budgétaire et
augmentation du travail gratuit effectué par des
stagiaires;
Considérant que la lutte pour la rémunération de tous
les stages prend
de l’ampleur sur différents campus et dans de nombreuses
régions du
Québec, notamment dans les régions de Montréal, Québec,
Trois-Rivières,
Saguenay, Sherbrooke et de l’Outaouais;
Considérant que quelques journées de grève de plus de 20
000
étudiant·e·s ont réussi à faire obtenir aux étudiant·e·
en éducation une
compensation financière pour leur quatrième stage;
Considérant que l’annonce de cette compensation est
largement
insuffisante pour pallier aux compressions budgétaires
totalisant plus
de 4 milliards depuis l’élection du gouvernement
libéral;
Considérant la sourde oreille du gouvernement et des
différentes
formations politiques face à l’enjeu de la rémunération
des stages et de
la reconnaissance du travail gratuit malgré la montée
des moyens de
pressions depuis deux ans;
IL EST PROPOSÉ DANS LE CADRE DU PLAN D’ACTION 2018-2019 DE
L’AECSL;
Que l’AECSL, en collaboration avec le CUTE St-Lô, informe et
mobilise
ses membres en faveur de la lutte pour la rémunération de
tous les
stages à tous les niveaux;
Que l’AECSL continue son implication à la Coalition
régionale pour la
rémunération de tous les stages et qu’elle invite les
groupes,
associations et organismes alliés à y participer;
Que l’AECSL, en collaboration avec le CUTE St-Lô, lance, dès
l’adoption
de ce plan d’action, un ultimatum au gouvernement de mettre
en place un
programme de rémunération de l’ensemble des stages dans
l’ensemble des
programmes et à tous les niveaux d’études;
Que l’AECSL, en collaboration avec le CUTE St-Lô, organise
une assemblée
générale spéciale afin de soumettre au vote des étudiant·e·s
une
proposition d’une demi-journée de grève à la fin octobre.
Que cette
grève soit faite dans le but de libérer l’horaire de la
population
étudiante afin qu’elle puisse participer à des ateliers de
discussion et
d’information concernant la campagne.
Que l’AECSL, en collaboration avec le CUTE St-Lô, organise
une assemblée
générale spéciale en novembre 2018 pour soumettre au vote
des
étudiant·e·s une proposition d’une semaine de grève se
tenant du 19 au
23 novembre, avec comme condition à son déclanchement qu’au
moins deux
autres associations étudiantes ait un mandat de grève
similaire;
Advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de tous
les stages à tous les niveaux, que l’AECSL, en collaboration
avec le
CUTE St-Lô, organise une assemblée générale spéciale afin de
soumettre
au vote des étudiant·e·s une proposition de grève générale
illimitée au
début de la session d’hiver 2019.
Que cette grève ai comme condition à son déclenchement que
le plancher
suivant soit atteint : 20 000 étudiant·e·s avec avec un
mandat de GGI
réparti.es dans 3 régions administratives;
Que l’AECSL, en collaboration avec le CUTE St-Lô, cherche
des appuis des
syndicats (internes et externes) et organismes
communautaires à la
campagne pour la rémunération de tous les stages afin
d’augmenter les
moyens de pression et d’encourager à refuser les stagiaires
en grève
dans leurs milieux de travail en guise de solidarité.
26 septembre 2018, Adoption à l’unanimité
Que l’AÉTS lance un ultimatum au gouvernement pour mettre en
place un
programme de rémunération de l’ensemble des stages dans
l’ensemble des
programmes et à tous les niveaux d’études;
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux, que l’AÉTS organise une
assemblée
générale de grève générale illimitée à l’hiver 2019 dès que
le plancher
suivant est atteint : 20 000 étudiant.es avec un mandat de
GGI
réparti.es dans 3 régions administratives;
Que l’AÉTS débloque 1000$ pour la campagne pour la
rémunération de tous les stages;
Que l’AÉTS invite les autres associations impliquées dans la
campagne
pour la rémunération des stages à cotiser aux fonds de grève
et adopter
des mandats en faveur d’une campagne menant vers la GGI;
Qu’advenant que la prochaine AG de grève de l’AFESH se
résulte par ‘’pas
de grève’’, que l’AÉTS tienne une AG de grève pour voter une
semaine de
grève du 19 au 23 novembre ou une journée de grève le 21
novembre;
Que l’AÉTS créé un comité de soutien pour les stagiaires et
les étudiant.es en grève;
Que l’AÉTS promeuvent l’adhésion de regroupements,
associations,
organismes et syndicats à participer à la Coalition
montréalaise pour la
rémunération des stages.
27 septembre 2018, Adoption à l’unanimité
Considérant que les conditions de stages non-rémunérés
ont comme
principale caractéristique commune de ne pas reconnaître
la valeur du
travail gratuit;
Considérant l’augmentation depuis la crise de 2008 du
nombre de stages non-payés après diplomation dans
différents domaines;
Considérant que la lutte pour la rémunération de tous
les stages prend de l’ampleur sur différents campus;
Considérant que quelques journées de grève de plus de 20
000
étudiant.es ont réussi à faire obtenir aux étudiant.es
en éducation une
compensation financière pour leur quatrième stage;
Considérant que l’annonce de cette compensation est
largement
insuffisante pour pallier aux compressions budgétaires
totalisant plus
de 4 milliards depuis l’élection du gouvernement
libéral;
Il est proposé dans le cadre du plan d’action 2018-2019;
Que le SECMV informe et mobilise ses membres en faveur de la
lutte pour la rémunération de tous les stages à tous les
niveaux;
Que le SECMV participe à la Coalition montréalaise pour la
rémunération
de tous les stages et qu’elle invite les groupes,
associations et
organismes alliés à y participer;
Que le SECMV lance, dès la rentrée de la session d’automne,
un ultimatum
au gouvernement de mettre en place un programme de
rémunération de
l’ensemble des stages dans l’ensemble des programmes et à
tous les
niveaux d’études;
Que le SECMV organise une assemblée générale de grève à
l’automne 2018,
pour voter une journée de grève le 21 novembre ou une
semaine de grève
la semaine du 19 novembre;
Que le SECMV débloque un budget de 5000 $ pour la campagne
sur la rémunération des stages.
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux, que le SECMV organise
une assemblée
générale de grève générale illimitée à l’hiver 2019 dès que
le plancher
suivant est atteint : 20 000 étudiant.es avec avec un mandat
de GGI
réparti.es dans 3 régions administratives;
Que le SECMV invite les autres associations impliquées dans
la campagne
pour la rémunération des stages et les associations
nationales à cotiser
aux fonds de grève et adopter des mandats en faveur d’une
campagne
menant vers la GGI;
Que le SECMV veille à ce que le Cégep Marie-Victorin prenne
position en
faveur de la rémunération de tous les stages et la
maintienne;
Que le SECMV cherche des appuis des syndicats et organismes
communautaires à la campagne pour la rémunération de tous
les stages
afin d’augmenter les moyens de pression et d’encourager les
travailleuses sociales à refuser les stagiaires en grève
dans leurs
milieux en guise de solidarité;
Que le SECMV invite le syndicat des professeur.es à prendre
position en faveur de la rémunération de tous les
stages.
19 septembre 2018, Adoption à l’unanimité
Considérant que les stages non rémunérés sont du travail
effectué gratuitement par les étudiant·e·s;
Considérant l’augmentation depuis la crise de 2008 du
nombre de stages non payés après diplomation dans
différents domaines;
Considérant la corrélation entre coupe budgétaire et
augmentation du travail gratuit effectué par des
stagiaires;
Considérant que la lutte pour la rémunération de tous
les stages prend
de l’ampleur sur différents campus et dans de nombreuses
régions du
Québec, notamment dans les régions de Montréal, Québec,
Trois-Rivières,
Saguenay, Sherbrooke et de l’Outaouais;
Considérant que quelques journées de grève de plus de 20
000
étudiant·e·s ont réussi à faire obtenir aux étudiant·e·
en éducation une
compensation financière pour leur quatrième stage;
Considérant que l’annonce de cette compensation est
largement
insuffisante pour pallier aux compressions budgétaires
totalisant plus
de 4 milliards lors du du gouvernement libéral;
Considérant la sourde oreille du gouvernement et des
différentes
formations politiques face à l’enjeu de la rémunération
des stages et de
la reconnaissance du travail gratuit malgré la montée
des moyens de
pressions depuis deux ans;
Que l’AGEEPP, en collaboration avec le CUTE région de
Québec, informe et
mobilise ses membres en faveur de la lutte pour la
rémunération de tous
les stages à tous les niveaux;
Que l’AGEEPP reste solidaire avec les autres étudiant-e-s
luttant pour la rémunération des stages;
Que l’AGEEPP, en collaboration avec le CUTE région de
Québec, lance, dès
l’adoption de ce plan d’action, un ultimatum au gouvernement
de mettre
en place un programme de rémunération de l’ensemble des
stages dans
l’ensemble des programmes et à tous les niveaux
d’études;
Que l’AGEEP, en collaboration avec le CUTE région de Québec,
organise
une assemblée générale spéciale en novembre 2018 pour
soumettre au vote
des étudiant·e·s une proposition d’une journée de grève se
tenant le 21
novembre, avec comme condition à son déclanchement qu’au
moins deux
autres associations étudiantes ait un mandat de grève
similaire;
Advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de tous
les stages à tous les niveaux, que l’AGEEPP, en
collaboration avec le
CUTE région de Québec, organise une assemblée générale
spéciale afin de
soumettre au vote des étudiant·e·s une proposition de grève
générale
illimitée au début de la session d’hiver 2019;
Que cette grève ai comme condition à son déclenchement que
le plancher
suivant soit atteint : 20 000 étudiant·e·s avec avec un
mandat de GGI
réparti.es dans 3 régions administratives;
Que l’AGEEPP, en collaboration avec le CUTE région de Québec
cherche des
appuis des syndicats (internes et externes) et organismes
communautaires à la campagne pour la rémunération de tous
les stages
afin d’augmenter les moyens de pression et d’encourager à
refuser les
stagiaires en grève dans leurs milieux de travail en guise
de
solidarité.
2 octobre 2018, Adoption à l’unanimité
Que l’AÉCS et le comité MOB informe et mobilise ses membres
en faveur de
la lutte pour la rémunération de tous les stages à tous les
niveaux ;
Que l’AÉCS et le comité MOB se positionnent en faveur de la
mise en
place d’un plan d’action similaire à ceux adoptés par les
autres cégeps
et facultés universitaires du Québec ;
Que l’AÉCS organise une assemblée Extraordinaire de grève à
l’automne
2018, pour voter une semaine de grève la semaine du 19
novembre ;
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux, que l’AÉCS organise une
assemblée
Extraordinaire de grève générale illimitée à l’hiver 2019
dès que le
plancher suivant est atteint : 20 000 étudiant.es avec un
mandat de GGI
réparti.es dans 3 régions administratives.
3 octobre 2018, Adoption à majorité
Que l’AEME reste solidaire avec les autres étudiant.es et
regroupements militant pour la rémunération de tous les
stages;
Que l’AEME informe et mobilise ses membres en faveur de la
lutte pour la rémunération de tous les stages à tous les
niveaux;
Que l’AEME participe à la Coalition outaouaise pour la
rémunération de
tous les stages et qu’elle invite les groupes, associations
et
organismes alliés à y participer;
Que l’AEME participe à l’ultimatum qui sera lancé par les
coalitions
régionales au gouvernement de mettre en place un programme
de
rémunération de l’ensemble des stages dans l’ensemble des
programmes et à
tous les niveaux d’études à l’hiver 2019;
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux tel que revendiqué, que
l’AEME
entreprenne une escalade des moyens de pression pouvant
aller jusqu’à la
grève générale illimitée, conjointement avec les
associations
étudiantes d’autres universités et cégeps de plusieurs
régions du
Québec;
Que l’AEME organise une AGS de grève durant la première
semaine du mois
de novembre pour démontrer au gouvernement le sérieux de
notre démarche
et afin de poursuivre l’escalade des moyens de pression.
Que l’AEME organise une AGS au début de la session d’hiver
afin de faire un suivi à l’ultimatum;
Que l’AEME invite les autres associations impliquées dans la
campagne
pour la rémunération des stages et les associations
nationales à cotiser
aux fonds de grève et adopter des mandats en faveur d’une
campagne
menant vers la GGI;
Que l’AEME continue de chercher des appuis à la campagne de
la part de
différents acteurs politiques tels que les syndicats et les
organismes
communautaires.
4 octobre 2018, Adoption à l’unanimité
Considérant que l’AMÉBES s’est positionné pour la
rémunération de tous les stages;
Considérant que l’ADEESE, l’AFESH, le Cégep du
Vieux-Montréal, le Cégep
de Marie-Victorin, le Cégep de Maisonneuve, le Cégep de
Saint-Laurent,
les étudiant.e.s de travail social de l’UQO et
l’Association des
Étudiant-e-s en travail social de l’UQAM ont lancé un
ultimatum qui
aboutit à la grève générale illimitée des stages si
aucune rémunération
de tous les stages n’est mise en place dès l’hiver
2019;
Que l’AMÉBES adopte le plan d’action suivant :
Que l’AMÉBES lance, dès maintenant, un ultimatum au
gouvernement de
mettre en place un programme de rémunération de l’ensemble
des stages
dans l’ensemble des programmes et à tous les niveaux
d’études.
Que l’AMÉBES promouvoie l’adhésion de regroupements,
associations,
organismes et syndicats à participer à la coalition
montréalaise pour la
rémunération des stages.
Que l’AMÉBES invite ses membres à participer à la Coalition
montréalaise
pour la rémunération des stages et qu’elle fasse valoir son
plan
d’action impliquant:
– le lancement d’un ultimatum dès la rentrée de la session
d’automne,
enjoignant le futur gouvernement de mettre en place un
programme de
rémunération de l’ensemble des stages dans l’ensemble des
programmes et à
tous les niveaux d’études;
– l’adoption d’un mandat de grève générale illimitée des
cours et des stages déclenchée dès que le plancher suivant
est atteint
– 20 000 étudiant.es avec un mandat de GGI réparti.es dans
trois régions administratives;
Que l’AMÉBES fasse valoir un plan d’action impliquant un
ultimatum et un
mandat de GGI pour l’hiver 2019 dans les instances où elle
siège.
Que l’AMÉBES se dote d’un fonds de grève voté après la
présentation du
budget 2018-2019 pour la campagne pour la rémunération des
stages.
27 septembre 2018, Adoption à majorité
Considérant que les conditions de stages non rémunérés
ont comme
principale caractéristique commune de ne pas reconnaître
la valeur du
travail gratuit;
Considérant l’augmentation depuis la crise de 2008 du
nombre de stages non payés après diplomation dans
différents domaines;
Considérant que la lutte pour la rémunération de tous
les stages prend
de l’ampleur sur différents campus et dans différentes
régions du
Québec;
Considérant que quelques journées de grève de plus de 20
000 étudiant.es
ont réussi à faire obtenir aux étudiant·e· en éducation
une
compensation financière pour leur quatrième stage;
Considérant que l’annonce de cette compensation est
largement
insuffisante pour pallier aux compressions budgétaires
totalisant plus
de 4 milliards depuis l’élection du gouvernement
libéral;
IL EST PROPOSÉ DANS LE CADRE DU PLAN D’ACTION 2018-2019;
Que l’AÉSFQ informe et mobilise ses membres en faveur de la
lutte pour la rémunération de tous les stages à tous les
niveaux;
Que l’AÉSFQ participe à la Coalition régionale pour la
rémunération de
tous les stages et qu’elle invite les groupes, associations
et
organismes alliés à y participer;
Que l’AÉSFQ lance un ultimatum au gouvernement de mettre en
place un
programme de rémunération de l’ensemble des stages dans
l’ensemble des
programmes et à tous les niveaux d’études;
Que l’AÉSFQ organise une assemblée générale de grève à
l’automne 2018,
pour voter une semaine de grève ou une journée de grève la
semaine du 19
novembre;
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux, l’AÉSFQ organise une
assemblée
générale de grève générale illimitée à l’hiver 2019, qui
serait
déclenchée dès que le plancher suivant est atteint : 20 000
étudiant.·e·s avec un mandat de GGI réparti.es dans 3
régions
administratives;
Que l’AÉSFQ cherche des appuis des syndicats et organismes
communautaires à la campagne pour la rémunération de tous
les stages
afin d’augmenter les moyens de pression et d’encourager les
travailleuses sociales à refuser les stagiaires en grève
dans leurs
milieux en guise de solidarité.
11 septembre 2018, Adoption à l’unanimité
Que l’exécutif du RESUL convoque une assemblée générale au
plus tard
lorsque 30 000 étudiantes et étudiants auront un mandat de
grève pour la
rémunération des stages à l’hiver 2019
4 octobre 2018
Considérant que les stages non rémunérés ont comme
principale
caractéristique commune de ne pas reconnaître la valeur
du travail
gratuit ;
Considérant que la lutte pour la rémunération de tous
les stages prend
de l’ampleur sur différents campus et dans différentes
régions du
Québec;
Considérant que quelques journées de grève de plus de 20
000 étudiant.es
ont permis aux étudiant.es en éducation d’obtenir une
compensation
financière pour leur 4e stage;
Considérant que l’annonce de cette compensation est
largement
insuffisante pour pallier les compressions budgétaires
totalisant plus
de 4G$ depuis l’élection du gouvernement libéral;
Considérant l’importance d’employer collectivement et
solidairement des moyens d’actions directes et de
désobéissance civile;
Considérant que l’Association des étudiantes et
étudiants en éducation
de l’UQAM (ADEESE) (5000 étudiant.e.s), l’Association
facultaire des
sciences humaines de l’UQAM (AFESH) (5000 étudiant.e.s)
et l’Association
du Cégep du Vieux Montréal (AGECVM) (6500 étudiant.e.s)
ont déjà adopté
un plan d’action conduisant à une grève générale
illimitée à la session
d’hiver 2019 dans l’éventualité où le gouvernement ne
s’engageait pas à
mettre en place un programme de rémunération de
l’ensemble des stages
dans l’ensemble des programmes et à tous les niveaux
d’études;
Considérant qu’un tel plan d’action sera discuté lors
des assemblées
générales dans plusieurs cégeps (St- Laurent, Outaouais,
Marie-Victorin,
Sherbrooke) et associations universitaires;
Considérant que l’AFESPED a comme mandat d’informer et
de mobiliser ses
membres en faveur de la lutte pour la rémunération des
stages à tous les
niveaux;
QUE l’AFESPED maintienne la diffusion, la défense et le
soutien aux
groupes militants et coalitions régionales soutenant la
lutte pour la
rémunération de tous les stages, dans toutes les disciplines
et à tous
les niveaux d’études;
QUE l’AFESPED lance un ultimatum au gouvernement pour mettre
en place un
programme de rémunération de l’ensemble des stages dans
l’ensemble des
programmes et à tous les niveaux d’études;
QUE l’AFESPED, advenant le défaut du gouvernement
d’implanter la
rémunération de tous les stages à tous les niveaux d’études,
organise
une assemblée générale de grève dès que le plancher suivant
sera atteint
à savoir 20 000 étudiant.es avec un mandat de grève générale
illimitée
réparti.es dans 3 régions administratives du Québec;
QUE pour rendre transparent le décompte du plancher,
l’AFESPED publie
sur son site internet les résultat des assemblée générale
s’étant
prononcé sur la campagne, leur nombre de membres et leurs
mandats;
QUE l’AFESPED s’engage à participer à une campagne d’actions
pouvant
culminer jusqu’à la grève générale illimitée. Que les
revendications de
cette campagne soient les suivantes:
1. En faveur de la rémunération de tous les stages, à tous
les niveaux d’études;
2. Des conditions de travail décentes pour toutes les
travailleuses et
travailleurs en stage, c’est-à-dire l’obtention de
protection sociale et
légale pour l’ensemble des stagiaires;
3. Un réinvestissement de l’État dans les secteurs publics
et
communautaires, à savoir les secteurs où l’on retrouve la
majorité des
stages non-rémunérés;
4. L’inscription de la lutte dans une perspective féministe
visant à
lutter contre le travail gratuit et l’exploitation des
femmes
susceptibles de vivre des formes croisées d’oppression.
QUE l’AFESPED, dans une perspective d’escalade des moyens de
pression,
tienne une assemblée générale de grève dans la semaine du 5
novembre
pour participer aux activités de mobilisation de la semaine
d’action du
19 au 23 novembre organisée notamment par la Coalition
montréalaise pour
la rémunération des stages;
11 octobre 2018, Adoption à majorité
Considérant que les conditions de stages non rémunérés
ont comme
principale caractéristique commune de ne pas reconnaître
la valeur du
travail gratuit;
Considérant l’augmentation depuis la crise de 2008 du
nombre de stages non payés après diplomation dans
différents domaines;
Considérant que la lutte pour la rémunération de tous
les stages prend
de l’ampleur sur différents campus et dans différentes
régions du
Québec;
Considérant que quelques journées de grève de plus de 20
000 étudiant.es
ont réussi à faire obtenir aux étudiant·e· en éducation
une
compensation financière pour leur quatrième stage;
Considérant que l’annonce de cette compensation est
largement
insuffisante pour pallier aux compressions budgétaires
totalisant plus
de 4 milliards depuis l’élection du gouvernement
libéral;
Que l’AFÉA informe et mobilise ses membres en faveur de la
lutte pour la rémunération de tous les stages à tous les
niveaux;
Que l’AFÉA participe à la Coalition régionale pour la
rémunération de
tous les stages et qu’elle invite les groupes, associations
et
organismes alliés à y participer;
Que l’AFÉA lance, dès la rentrée de la session d’automne, un
ultimatum
au gouvernement de mettre en place un programme de
rémunération de
l’ensemble des stages dans l’ensemble des programmes et à
tous les
niveaux d’études;
Qu’advenant le défaut du gouvernement d’implanter la
rémunération de
tous les stages à tous les niveaux, l’AFÉA organise une
assemblée
générale de grève générale illimitée à l’hiver 2019;
Que l’AFÉA cherche des appuis des syndicats et organismes
communautaires
à la campagne pour la rémunération de tous les stages afin
d’augmenter
les moyens de pression et d’encourager les travailleuses
sociales à
refuser les stagiaires en grève dans leurs milieux en guise
de
solidarité.
7 novembre 2018, Adoptée à majorité